Paris : on a testé la « Quéquetterie », des gaufres délicieuses !

Nous avons rencontré Tatiana, l’heureuse propriétaire du corner « Quéquetterie » au 28, rue Aboukir à Paris (2ème). Des foufounes et des quéquettes en gaufre, avec un délicieux nappage, à 5€ ou 7€ pièce.

Il est midi, nous sommes mercredi, et avec les règles sanitaires en vigueur, pas facile de se trouver un déjeuner rapide et déjà tout fait. Seule alternative ? La street food, ou vente à emporter, des produits simples, réchauffés sur place, et consommés dans l’heure.
C’est dans ce contexte que la Quéquetterie s’est lancée.

La Quéquetterie de Paris, les gaufres surfent sur la tendance street food

Tatiana nous raconte : « Avec le confinement, toute la mise en place de la Quequetterie a été compliquée, le projet a ouvert il y a un an, a fermé entre temps, puis à réouvert. Depuis, 20 jours, c’est bon on est installé ! Les gens viennent nous voir entre midi et deux et à la fin de journée, on devient la petite touche sucrée qui convient à leurs repas. »

Un concept qui peut paraître étonnant en France, mais qui existait déjà en Thaïlande, ou à Madrid. Tatiana l’a découvert fin 2019, a adoré, et l’a importé directement en France.

« Tout le monde est intéressé par nos gaufres, même les parents avec les enfants ! On a des jeunes, des vieux, un peu de tout…« 

Non seulement les gaufres sont de bonne qualité, mais le projet de Tatiana est également de normaliser ces parties « honteuses » du corps. « Les gaufres en forme de sexe, c’est un moyen de normaliser la chose, de lever les tabous. »

Se servir de sucreries pour parler de sexualité, une initiative qui avait déjà été portée par les premiers bonbons clitoris lancés il y a quelques semaines.

La Quéquetterie, bientôt une franchise ?

Et Tatiana ne compte pas s’arrêter là. Avec le développement d’un système de franchise, elle souhaite donner la possibilité à des restaurateurs de proposer également de jolies quéquettes et foufounes à emporter par le client.

En attendant, rendez-vous au 28, rue d’Aboukir dans le deuxième arrondissement de Paris pour profiter d’une gaufre, nappée au choix.

Qui dit que la crise ne réservait pas aussi de belles surprises ?

(PS : et aussi, c’est très bon.)